Vous êtes salarié dans le privé et vous enregistrez actuellement une perte de revenus ? Que cette baisse de salaire soit liée à un arrêt de travail (maladie, accident), à une invalidité, à un changement d'entreprise, à une modification du contrat de travail ou à une reconversion, elle s’avère forcément problématique.

Alors, comment percevoir un maintien ou un complément de salaire sur la durée ? Si vous êtes salarié et que vous envisagez une nouvelle activité en parallèle, quels sont vos droits et devoirs, d'une part vis-à-vis de votre entreprise, d'autre part vis à vis de la Sécurité Sociale, surtout si celle-ci vous fait bénéficier d'une indemnisation ? 

Elora, entreprise de pointe spécialisé dans la vente de prêt-à-porter à domicile, vous en dit plus.

QUE FAIRE EN CAS D'ARRET MALADIE OU D'INVALIDITE ?

Concernant la rémunération de l'arrêt maladie, la Sécurité sociale prévoit le versement d’indemnités journalières (IJSS), mais celles-ci sont soumises à un délai de carence et leur montant est plafonné. Par conséquent, elles ne compensent pas entièrement la perte de rémunération du salarié. Le maintien éventuel du revenu dépendra alors du régime mis en place par l’entreprise : selon la convention collective ou l'accord de branche qui s'applique, une indemnisation supplémentaire pourra venir compenser la perte de salaire.

Un autre élément clé est l'assurance dite "de prévoyance" souscrite par le salarié ou mise en place par son employeur. Ce type d'assurance offre une garantie permettant, selon les conditions du contrat, d'obtenir une indemnisation, en complément du montant des indemnités journalières versées par la Sécurité sociale (IJSS). La perte de revenus pourra être minimisée ou même compensée, durant toute la durée des arrêts de travail.

Il est donc essentiel pour les salariés de bien s’informer sur les dispositifs d'assurance et de garantie dont ils bénéficient, afin d’anticiper au mieux les conséquences financières d’un arrêt de travail, en fonction de sa durée. Une étude approfondie des accords d’entreprise, comme du contrat d'assurance et de prévoyance, permet d’optimiser le montant global de l'indemnisation et d’assurer un meilleur maintien de la rémunération.

COMMENT GAGNER DE L’ARGENT EN CAS DE PERTE DE SALAIRE ?

Il faut savoir que plusieurs solutions s’offrent à vous pour pallier une perte de salaire et pour assurer le maintien de votre rémunération globale. Et même d'en augmenter le montant...  L’une d’elles - et la plus efficace - consiste à pratiquer un travail secondaire sur une durée plus ou moins longue, en fonction de vos besoins.

Le salarié d’une entreprise a, dans la plupart des cas, le droit de compléter son revenu en exerçant un travail complémentaire, même régulier, à condition que celui-ci ne nuise pas à l'entreprise qui lui verse une rémunération. Veillez à bien consulter votre contrat de travail pour vous assurer que vous êtes dans votre bon droit, et notamment que vous n'avez pas de clause explicite vous interdisant un second emploi. N'attendez pas d'avoir démarré pour vérifier si les clauses de votre contrat vous obligent à prévenir votre employeur actuel, et dans quel délai.

Contrairement à certaines idées reçues, un salarié en arrêt maladie peut exercer une activité d'indépendant et percevoir une rémunération en tant qu'auto-entrepreneur, même s'il perçoit des indemnités journalières (IJSS), mais sous certaines conditions. Il doit respecter à la fois ses obligations envers son employeur et les règles de la Sécurité sociale. De manière générale, l'exercice d'une activité indépendante ne doit, ni compromettre le rétablissement du salarié au cours de son arrêt de travail, ni être contraire au traitement médical prescrit. Il est recommandé de faire preuve de prévoyance, donc de consulter son médecin et de vérifier auprès de la Caisse primaire d’assurance maladie (CPAM), pour éviter tout risque de suspension des indemnités journalières (IJSS). 

En ce qui concerne le salarié en invalidité, celui-ci peut également exercer une activité professionnelle en tant qu'auto-entrepreneur, mais cela dépend de la catégorie de son invalidité et des règles de la Sécurité sociale. Les travailleurs indépendants, y compris les auto-entrepreneurs, peuvent bénéficier d'une pension d'invalidité sous certaines conditions.

Si vous êtes en invalidité de catégorie 1, vous pouvez généralement cumuler votre pension avec une activité indépendante. En revanche, pour une invalidité de catégorie 2, il est recommandé de vérifier les implications auprès de la Caisse primaire d’assurance maladie (CPAM), car cela peut modifier le montant de votre pension, voire déclencher l'arrêt de son versement.

Il est essentiel de respecter les obligations administratives et de s'assurer que l'activité exercée est compatible avec votre état de santé. Une consultation avec un conseiller de la Sécurité sociale ou un avocat en droit du travail peut être préconisée, pour s'assurer des modalités de maintien des prestations.

COMMENT OBTENIR UN COMPLÉMENT DE REVENUS AVEC ELORA ?

Si vous aimez la mode, ainsi que la relation sociale et commerciale... proposer vos services en tant que vendeur à domicile indépendant (VDI) à une entreprise de prêt-à-porter est une excellente manière d'élargir votre activité professionnelle, et de voir votre rémunération augmenter sur la durée.

Elora dispose d’un grand nombre de postes de conseillères de mode, ouverts aux personnes souhaitant compenser une perte de rémunération et/ou générer un complément de revenus par rapport à une éventuelle indemnisation de la Sécurité Sociale..

Chez Elora, les conseillères de mode interviennent en tant que personal shoppers, ce qui rend l'activité épanouissante et gratifiante. Elles ont le droit de travailler sous le régime simplifié de la micro entreprise. Elles n’ont donc pas un statut de salarié soumis à l'autorité d'un employeur, mais d’indépendant, tout en bénéficiant de la sécurité d'un contrat en bonne et due forme.

Ce contrat leur procure de nombreux avantages. Elora leur offre, par exemple, la possibilité d’organiser leur planning et la durée de leur travail, exactement comme elles le souhaitent et en fonction du montant de rémunération qu'elles veulent atteindre. Les personal shoppers développent leur activité à domicile ou à proximité de chez elles, ce qui évite toute perte de temps. C'est ce qui leur permet, assez facilement, de concilier leur vie de tous les jours, leur emploi principal et ce travail complémentaire.

Le montant de leur rémunération est un pourcentage non plafonné du chiffre d’affaires réalisé, qui figure au contrat dès le départ. Le calcul est facile à faire, puisque 2 ventes par semaine (qui peuvent avoir lieu le soir et le weekend en fonction de leurs disponibilités) permettent de bénéficier de l'équivalent d'un salaire au SMIC !

Les conseillères de vente peuvent aussi bénéficier d'une multitude de challenges pour gagner des cadeaux et des voyages, tout au long de l’année, ce qui renforce leur sentiment d'appartenance à une entreprise dynamique et chaleureuse.

Elora